« Il faut savoir terminer une grève… »
Je conserve de ces semaines une détermination collective forte face à un pouvoir au moins aussi « costaud » que celui qui a étouffé la contestation sur la réforme des retraites. Sa réaction n’était pas moins dure et butée. Au lieu de détruire le mouvement elle ne fit que le conforter. Il s’amplifia avec deux « forces » importantes : l’industrie et les facultés. Incontestablement ce sont deux vecteurs de la montée en puissance de cette contestation qui fut parfois violente et massive.