Le mur et la rumeur logent à l’hôtel de la Prévoté (5)
Au début du XX° siècle l'actuel Bistrot des copains traversent deux décenneis difficiles. Une histoire de mur et un terrible rumeur ont hanté l'établissement
Au début du XX° siècle l'actuel Bistrot des copains traversent deux décenneis difficiles. Une histoire de mur et un terrible rumeur ont hanté l'établissement
Vivant sur la base des critères sociétaux successifs le bâtiment actuel a traversé depuis plus de 120 ans tous les épisodes de la grande mais surtout la petite histoire avec forcément des hauts et des bas, des échecs et des réussites, des drames et des moments enthousiasmants.
Ces inconditionnels du « café-cigarette-journal » ont leurs horaires fixes qui amènent parfois Nicolas ou Christine à se soucier de leur santé si par hasard leur présence fait défaut. Ils constituent des repères exceptionnels aussi efficaces qu'une pendule comtale et surtout ils apportent leur précieuse vision sur un monde où plus rien ne tourne rond, celui du foot.
Le mercredi matin, jour du marché hebdomadaire, les copain.ine.s se pressent autour des tables du Bistrot de Christine et Nicolas.
Quelques dizaines de mètres à pied pour plonger dans un bain irremplaçable, donnant son véritable sens à la vie. Je me sens tellement bien assis au milieu des autres, des touristes étrangers qui scrutent cette micro-société du « Café des copains» juste à coté de la Mairie avec le regard étonné d’un entomologiste découvrant une espère en voie de disparition.
Un ou deux solides orages avec quelques trombes d'eau localisées, une lune qui prend son premier quartier d'été et naissent les prédictions des comptoirs de bistrot. On ne cause ni…
Avant que le soleil ait regagné ses pénates nocturnes offrant un répit dans sa chaleureuse envie de réchauffer la terre, il faudrait chaque soir d'été aller explorer le quotidien, le modeste, l'habituel pour vérifier ce qu'ils nous apportent et les réhabiliter. Une marche solitaire dans l'ordinaire constitue un vrai plaisir.
Désormais le « tigre » est sorti, non pas de la jungle, mais des marais mal entretenus ou des restes d'eau au fond de banals récipients de jardin. Il devient le monstre de l'été qui fait la une des quotidiens régionaux. Il pique à tout va, en rafale ou en escadrille
En l'absence de Julian « l'empereur » porteur de la toge jaune lors du Tour des cols, le metteur en scène du 39° tome de la « bataille » cycliste de Castillon, avait opté pour cette opposition de prestige entre le champion institutionnel vêtu de tricolore et celui plus fantasque au maillot parsemé de pois rouges.