Les vitraux diffuseurs de la lumière du ciel
Lorsque l'on entre dans une chapelle, une église ou une cathédrale le plaisir de la découverte des vitraux constitue un plaisir vraiment profond si l'on sait apprécier la valeur de la lumière.
Lorsque l'on entre dans une chapelle, une église ou une cathédrale le plaisir de la découverte des vitraux constitue un plaisir vraiment profond si l'on sait apprécier la valeur de la lumière.
Bercy vient ainsi de réaliser un appel de fonds démentiel sans que personne n'élève le ton. Or c'est l'illustration des dégâts de l'ultra-libéralisme qui tente de persuader l'opinion de l'utilité de la baisse des impôts, contributions aux besoins de la vie collective.
Doit-on interdire les stades de ce qui reste du football aux enfants ? La question mériterait d'être posée. Elle ne le sera pas car dans le monde actuel, depuis l'invention du…
Le concept de « bulle » renvoie en effet inexorablement au risque d’éclatement ! Le secteur de l'immobilier devrait singulièrement inquiéter car il génère endettement, fragilité sociale et flambée des prix.
La rentrée reste un jour magique. Ce jour là est toujours celui d'une aube prometteuse éclairant un avenir que l’on espère radieux ou un coucher du soleil de ses illusions.
La foule attend un invité récurrent mais toujours changeant. De là-bas, en aval, à la sortie de la division en deux bras provoqué par l'île d'Arcins doit arriver le rouleau compresseur du mascaret sur la Garonne
Il y a des récoltes qui se méritent. Elles nécessitent des prises de risques ou des efforts particuliers. Les mûres, de plus en plus négligées par les habitant.e.s du milieu rural appartiennent à cette catégorie des trésors naturels qu'il faut savoir aller chercher. Il faut aller les dénicher au plus près de la nature.
Souvent protégé des intempéries par un abri adapté aux dimensions du bassin, ce lieu permettait de prendre des nouvelles « fraîches ». Le lavoir est devenu depuis des décennies un petit patrimoine à protéger car il n'a plus d'utilité réelle.
Philippe Madrelle a laissé quelque part j’en suis certain, dans une enveloppe blanche, lui, l’instituteur, fils de l’école publique, la fable du laboureur comme testament politique. Elle s’adressera à celles et ceux à qui il a appris à labourer ou surtout à celles et ceux qui ont refusé l’exigence de ce travail. « Travaillez, prenez de la peine : c’est le fonds qui manque le moins ».