Philippe, instituteur et laboureur de Gironde
Philippe Madrelle a laissé quelque part j’en suis certain, dans une enveloppe blanche, lui, l’instituteur, fils de l’école publique, la fable du laboureur comme testament politique. Elle s’adressera à celles et ceux à qui il a appris à labourer ou surtout à celles et ceux qui ont refusé l’exigence de ce travail. « Travaillez, prenez de la peine : c’est le fonds qui manque le moins ».