Et s’il était trop tard… pour oublier les autres
Le périple a été un peu long et j’ai perdu l’habitude de ses levers au creux de la nuit pour rejoindre l’aéroport mérignacais. Créon enveloppé par la nuit laisse encore à la lune le soin de suppléer la disparition de tout les réseau d’éclairage public. Rançon du progrès l’attente et la préparation du vol sont plus logues que le vol lui-même. Les péripéties du contrôle de mon maigre bagage à main aggravent mon stress.