Les Britanniques vont devoir considérablement modifier leurs repères puisque leur reine depuis quelques décennies s'est tirée la dernière. Un événement planétaire puisqu'elle avait la reconnaissance du Commonwealth et qu'elle appartenait à l'Histoire du monde.
Tout l’habileté du chercheur émérite réside souvent dans sa capacité à anticiper la venue en ce monde des « têtes » blondes ou brunes qui feront sa légende. Être le premier a pouvoir opiner du chef à une simple question : « alors il y en a ? » vous donne rapidement une notoriété aussi importante que celle dont a joui l’enchanteur Merlin.
Toute la journée de hier le SMICVAL (1) a recherché un nouveau modèle pour juguler les sommes perçues sur les ménages. Un projet vraiment courageux en est sorti malgré des divergences sur les délais de mise en œuvre et des reproches sur la méthode.
« Bonsoir. Qu'avez-vous de très fort ? Je veux une bouteille de costaud. Plus fort que le vin ? » Quand en fin de nuit au stand du viticulteur installé au marché de nuit de l'hippodrome de Craon, d'une démarche hésitante et avec une élocution difficile, un jeune se présente avec ses billets à la main pour poser cette question, je me sens incapable de lui répondre.
Des cohortes de spectateurs affluent vers les tribunes de l'hippodrome de Craon dans le sud de la Mayenne. Elles déferlent en ce début d'après-midi ensoleillé comme attirées par un événement hors du commun. Les fameuses « trois glorieuses », ces journées de ce long week-end entièrement consacrées aux couses hippiques avaient d'habitude leur point culminant le dimanche.
Rencontre impromptue avec un jeune éleveur de vaches laitières. Un superbe moment révélateur de la situation de la ruralité.
Les vendanges vont battre leur plein dans les prochains jours en Bordelais. L’ouverture de la cave coopérative créonnaise bien que réduite à la portion congrue en matière de surfaces à récolter par ses adhérents va emplir l’air de la commune de cette odeur spécifique de la râpe sortie des pressoirs. Cette période reste l’une des plus belles de l’année pour celles et ceux qui ont eu la chance de vivre près de la terre.
Revenir à la lettre de Jaurès aux instituteurs pour une rentrée angoissante à plus d'un titre serait redonner son sens au système éducatif. Impossible désormais dans cette société consumériste.