Paris by night (3) : le syndrome de la chambre
La chambre était d'une autre époque. Tout y était ancien, sobre et parfaitement rangé. Quand j'y entrais il était tard dans la nuit puisque le repas avait été animé et…
La chambre était d'une autre époque. Tout y était ancien, sobre et parfaitement rangé. Quand j'y entrais il était tard dans la nuit puisque le repas avait été animé et…
Les annonces se succèdent avec des motifs différents : retard dans la mise en place du TGV, incidents sur les voies, personnel indisponible... rien de bien extraordinaire. Toujours pas de décision relative aux départs prévus dont le retard ne cesse de croître.
Le départ pour Paris le 20 mars 1974 avait été entouré de mille précautions médicales. Certes il me fallait accompagner la délégation du Syndicat national des Instituteurs de la Gironde à son congrès de remise en ordre prévu à La Mutualité mais surtout « abandonner » mon épouse enceinte.
Lorsqu'on me parla d'être de la délégation girondine au congrès de la Fédération de l’Éducation Nationale de 1973 devant se dérouler dans la salle parisienne mythique de La Mutualité à Paris, j'en ressentis une légitime fierté. Le lieu était chargé de symbole et le contexte très particulier. Il fallait en effet des militants solides car le rendez-vous s'annonçait particulièrement animée car l'éclatement qui interviendra près de deux décennies plus tard, menaçait aus ein du mouvement syndicat enseignant.
(...) De tous les responsables présents représentants les commissions des jeunes du SNI j'étais visiblement le bizut et donc j'écoutais autour de la table avec respect les commentaires élogieux de l'intervention de Michel Bouchareissas précédant celle d'André Ourliac, énergique secrétaire général audois à l'accent rocailleux. Vint alors le moment de commander. L'ambiance était au top.
J'avoue que je suis un peu lassé de balancer chaque jour depuis maintenant 14 ans des « bouteilles à la mer » sur les évolutions sociales et politiques. Elles mettent beaucoup de…
Rares sont les candidat.e.s qui évaluent leurs possibilités financières pour le mandat qui les attend. Or la disparition progressive de la taxe d'habitation, qui sera pleinement effective en 2023, dont l'exonération sera compensée à l'euro près n'a pas fini de faire des dégâts collatéraux. L'un d'eux concernera la taxe sur le foncier des propriétés bâties. En bref celles et ceux qui vont trinquer seront les propriétaires d'un bien immobilier !
Comment appelle-t-on le système qui conduit une structure ou une personne à contracter un emprunt... pour parvenir à rembourser un emprunt antérieur ? A priori des femmes et des hommes politiques englués dans des procédures judiciaires liés à des détournements de fonds publics, dépensant de l'argent qu'ils n'ont pas, trafiquant avec les textes sur le financement de leurs actions électorales peuvent se permettre de faire de « la cavalerie ».
Demandez à des passionné·es de cuisine, et beaucoup vous parleront de l'effet quasi-thérapeutique de quelques heures passées derrière les fourneaux. J'en suis puisque quand je suis rendu fou par la vie je me plonge dans une recette de souvenir, celle qui est largement la plus belle et la plus précieuse pour soigner sa nostalgie.