Des faillites qui en annoncent d’autres
Le principe voulant que le « privé » libéral soit forcément un « bon » gestionnaire de domaines d'intérêt général (transports, énergie, infrastructures routières ou aéroportuaires... notamment) est plus que relatif dans un monde de plus en plus soumis à des soubresauts spéculatifs indépendants de la finalité des entreprises.