La pandémie du mal bleu girondin
ur l’écran noir de ma nuit blanche est apparue une interrogation susceptible de tarauder toutes les « truies » qui doutent : « suis-je un beauf pour être allé passer encore une journée avec les chasseurs dans une palombière ? » Mon souci de la transparence et du parler-vrai m’interdisent de me dérober à mes responsabilités. Vais-je être voué aux gémonies par les défenseurs attitrés des pigeons ramiers ? Puis-je espérer échapper à la honte d’avoir laissé tirer sur des « migrants » empruntant les voies célestes alors qu’ils retournent au pays ?