Une bataille gagnée n’efface pas la perspective d’une retraite
L’âge auquel une personne peut demander à faire valoir ses droits à pension a toujours constitué un élément médiatique essentiel de la vie politique. Il n’y a pas eu une…
L’âge auquel une personne peut demander à faire valoir ses droits à pension a toujours constitué un élément médiatique essentiel de la vie politique. Il n’y a pas eu une…
Les ballons d’essai montent dans la ciel médiatique. L’un d’entre eux parti de Matignon pèse lourd car il emporte avec lui des années de promesses présidentielles de toutes les couleurs. Depuis des années, il n’y pas un gouvernement qui n’a pas annoncé une « baisse des impôts » avec en corollaire des hausse plus ou moins déguisée des contribution sociales et des taxes sur la consommation. Or désormais vu la situation angoissante des finances publiques Matignon envisage de récupérer quelques recettes supplémentaires sur la « France d’en bas »
Le personnel politique installé à la tête des partis constitue une « ethnie » particulière dont les coutumes et les attitudes variables diffèrent totalement de celles de ce que certains appellent encore le peuple. Il passe son temps à décevoir, à trahir, à renoncer au nom du principe éternel voulant que ses intérêts individuels constituent selon lui, l’intérêt collectif.
Le choix du premier des ministres n’appartient pas au Président de la République. C’est ce que l’on entend depuis quelques heures dans le camp de la Gauche. « Nous désignerons la…
Cette campagne des législatives volontairement écourtée par la décision éruptive du Président se joue ailleurs que sur le terrain. Elle marquera ainsi un changement profond dans la vie politique. Plus de contact direct. Plus de lien entre les personnes revendiquant les suffrages, et l’électorat. L’attribution des étiquettes constitue désormais l’acte essentiel des partis. La valeur individuelle n’a plus aucun intérêt tout comme leur ancrage local.
Depuis des décennies, le volume des contraintes imposées par la loi ne cesse d’augmenter. Dans son rapport annuel le Sénat dresse un bilan de l’application concrète des textes parlementaires. Un document édifiant car il casse l’idée généralement très répandue que dès son adoption un texte est exécutable et exécuté. En fait il s’écoule généralement des mois avant que les fameux décrets d’application paraissent au journal officiel.
Lorsqu’il me faut reprendre confiance et redécouvrir le vrai chemin de l’engagement qui aura été le mien, je relis avec un immense plaisir le discours de politique générale que Michel Rocard a prononcé le 28 juin 1988 devant une Assemblée Nationale où il n’avait pas de majorité. Chaque mot résonne fortement dans le contexte actuel de notre pays
Le périple a été un peu long et j’ai perdu l’habitude de ses levers au creux de la nuit pour rejoindre l’aéroport mérignacais. Créon enveloppé par la nuit laisse encore à la lune le soin de suppléer la disparition de tout les réseau d’éclairage public. Rançon du progrès l’attente et la préparation du vol sont plus logues que le vol lui-même. Les péripéties du contrôle de mon maigre bagage à main aggravent mon stress.
Le référendum a de multiples facettes dans notre démocratie réputée représentative. Il appartient à tous les niveaux de la gouvernance républicaine mais se révèle tellement compliqué à mettre en œuvre que dans les faits il n’existe pas ou très peu.